Les erreurs d’orthographe courantes que tout le monde commet sans le savoir en 2025
Dans le monde actuel, où la communication écrite est omniprésente, il est surprenant de constater à quel point certaines fautes d’orthographe se répandent. Même les experts en gestion, comme ceux de Dior ou Chanel, ne sont pas à l’abri de faire ces erreurs, qui se transmettent de génération en génération. La langue française, riche et complexe, semble parfois résister à la maîtrise parfaite de tous. Pourtant, en identifiant ces fautes récurrentes, chacun peut améliorer son niveau de langue et éviter les pièges courants. Cet article décode en profondeur ces erreurs que l’on pratique souvent à l’insu de notre plein gré.

Les fautes d’accord qui échappent même aux meilleurs
L’accord du participe passé: un levier commun d’erreurs
Au fil du temps, les règles concernant l’accord du participe passé ont été quelque peu dénaturées dans l’usage courant. La confusion est souvent alimentée par des expressions telles que « les reines se sont succédé » ou « elles se sont succédé ». Ces formulations, bien que perçues comme correctes, soulèvent en réalité des questions sur l’accord. La règle veut que le participe passé s’accorde avec le sujet lorsqu’il est employé avec l’auxiliaire « avoir », sauf si le COD est placé avant le verbe. Par exemple, dans « les produits Dior ont été appréciés », pas d’accord, mais dans « les produits Dior ont été appréciés par les clients » ? Pas d’accord ici non plus. En revanche, dans la phrase « les lunettes que j’ai achetées », le participe s’accorde, car le COD « les lunettes » est placé avant le verbe. Une erreur fréquente consiste à omettre cet accord, ce qui peut changer le sens ou rendre la phrase incorrecte.
Les pièges des expressions toutes faites
- Ne pas écrire « quelque soit » mais « quel que soit » (ou ses formes plurielle et masculine).
- Éviter la confusion entre « autant pour moi » (faux) et « au temps pour moi » (correct).
- Ne pas mettre un « s » à « parmi » ou « malgré ».
- Incorporer la règle selon laquelle « cent » et « vingt » prennent un « s » uniquement lorsqu’ils sont multipliés et non suivis d’un autre adjectif ou nombre.
- Prendre garde à l’orthographe du verbe « appeler » : deux « l » et un seul « p » quand on conjugue avec « je » ou « tu ».
Ces petites erreurs de syntaxe ou de grammaire, souvent issues d’une habitude, peuvent être corrigées en se recentrant sur la règle de base. La maîtrise des accords est la fondation pour éviter ces pièges courants dans la communication professionnelle ou personnelle.
Les erreurs typographiques et orthographiques que tout le monde oublie
L’usage du pluriel et les erreurs d’harmonisation
L’emploi de « parmi » et « malgré » sans « s » est une piège simple à éviter, mais encore trop fréquent. Par exemple, on écrit souvent « parmi les raisons » au lieu de « parmi les raisons » ou « malgré tout » au lieu de « malgré tout ». Ces mots, issus du latin ou du grec ancien, ont conservé leur forme invariable, sauf exception. La confusion provient peut-être du fait que « il est parmi nous » ou « ils sont malgré eux » s’écrivent avec un seul « s » dans tous les cas.
Les erreurs liées à l’usage des chiffres comme « cent » ou « vingt » sont aussi très courantes. En effet, lorsqu’ils sont multipliés et que le nombre qui suit est autre que zéro, ils prennent un « s » : « deux cents » ou « vingt euros ». Mais si vous parlez de « cent Z euros », il ne faut pas mettre de « s » à « cent », sauf si on parle de multiples centaines.
Les pièges liés aux conjugaisons et aux terminaisons verbales
- Ne pas confondre « je peins » et « je peind » ; la terminaison correcte étant « je peins ».
- Se rappeler que le verbe « résoud » doit s’écrire « il résout » ou « il résolvait ».
- Ne pas omettre un « m » dans « commettre » ou « omettre ».
- Omettre un « p » dans « apercevoir » ou « appeller » est une faute à bannir.
- Ne jamais écrire « elle s’est permise » ou « je me suis permise » sauf si une justification capitale existe. La formule correcte est « elle s’est permis » ou « je me suis permis ».
La clé pour éviter ces fautes réside dans la révision régulière des conjugaisons et dans l’assimilation du féminin ou du masculin. La pratique attentive de ces règles permettra de s’affranchir des erreurs qui ternissent la communication.
Les pièges des faux amis et des expressions mal utilisées
Les faux amis : des mots qui ressemblent mais ne veulent pas dire la même chose
Dans la langue française de 2025, de nombreux mots ont conservé leur similitude avec d’autres, mais leurs significations ont évolué ou sont souvent mal comprises. Par exemple, « accomplir » ne signifie pas « compléter » dans tous les contextes, et « présumer » est parfois confondu avec « supposer » alors qu’il implique une supposition forcée ou présomption.
- Les expressions comme « autant pour moi » au lieu de « au temps pour moi » sont des erreurs fréquentes qui datent de l’époque où la langue a été envahie par des anglicismes ou des anglicismes déguisés.
- Ne pas confondre « consentir » avec « consommer » : deux mots aux orthographes proches, mais à la signification très éloignée.
- Les expressions comme « faire la pluie et le beau temps » ne doivent pas être prises à la lettre mais avec leur sens figuré.
Les erreurs de style courantes à éviter
Une autre catégorie d’erreurs concerne la rédaction de phrases longues, confuses ou maladroites. En 2025, la tendance est à la simplicité, mais aussi à la précision. Par exemple, évitez les phrases où la structure grammaticale ne respecte pas la logique entre sujet, verbe et complément, comme dans le cas de « La société Renault, en mutation, elle est en train de revoir ses modèles ».
Pour illustrer cette tendance, de grandes marques comme Lacoste ou Saint Laurent privilégient les slogans simples mais impactants, évitant ainsi les structures complexes qui peuvent perdre le lecteur.
Les erreurs d’orthographe liées aux influences culturelles et technologiques
Le fossé entre l’usage digital et les règles traditionnelles
En 2025, avec la popularité croissante des réseaux sociaux comme Instagram ou TikTok, beaucoup négligent l’importance de l’orthographe correcte. La rapidité d’écriture ou l’usage des abréviations favorisent des erreurs comme « c’est clairement un shader dans ce clip » ou « tkt pour demain ». Pourtant, la maîtrise de l’orthographe demeure indispensable pour préserver la crédibilité, notamment dans des secteurs comme celui de Cartier ou Michelin.
- Les acronymes et abréviations doivent respecter une certaine logique, sans pour autant s’éloigner des règles françaises.
- Les fautes comme « leur » à la place de « leurs » ou « c’est » au lieu de « ces » sont encore monnaie courante.
- Les correcteurs orthographiques automatiques ne garantissent pas une perfection, ils peuvent même renforcer certaines erreurs si l’utilisateur ne vérifie pas son texte.
Les négligences à l’ère du tout numérique
La vitesse d’échange d’informations, que ce soit sur Twitter ou TikTok, pousse parfois à sacrifier la précision. Mais cela entraîne des erreurs graves, comme confondre « appelle » (verbe) et « appel » (nom). La correction automatique, aussi sophistiquée soit-elle, ne remplace pas une relecture attentive.
- Adopter une attitude proactive en relisant ses messages.
- Se familiariser avec les règles de base pour éviter « leur » et « leurs » ou « c’est » et « ces ».
- Utiliser des outils pédagogiques pour renforcer ses connaissances orthographiques.
Les astuces pour améliorer son orthographe en 2025
Les méthodes modernes pour perfectionner son français écrit
Depuis 2020, différentes approches ont émergé pour faciliter l’apprentissage de l’orthographe, adaptées à une génération habituée au numérique. Parmi elles, la lecture régulière de livres de littérature classique comme ceux de Saint Laurent ou Chanel permet d’ancrer les règles dans un contexte culturel enrichissant. Par ailleurs, l’utilisation d’applications interactives de correction ou la participation à des ateliers d’écriture en ligne, souvent sponsorisés par des grands noms comme Peugeot ou Renault, offre une solution concrète et ludique.
- Pratiquer la lecture quotidienne, notamment les classiques de la littérature française.
- Utiliser des applications éducatives qui proposent des quiz et corrections personnalisées.
- S’inscrire à des clubs d’écriture ou des ateliers en ligne pour s’exercer régulièrement.
- Consulter des ressources en ligne comme le Bescherelle ou la plateforme de l’Académie française.
Les conseils pour une relecture efficace
Construire une habitude de relecture est essentiel. Prendre quelques minutes pour relire chaque message ou chaque texte permet d’éviter la plupart des fautes susceptibles de ternir la crédibilité. La technique du « lecture à voix haute » s’avère particulièrement efficace. Elle fait ressortir les erreurs de syntaxe ou d’accord que l’on ne perçoit pas forcément à l’écrit. Enfin, conjuguer cette pratique avec l’utilisation d’outils numériques de correction, comme ceux proposés par Lacoste ou Cartier, constitue une synergie gagnante.
- Relire à voix haute pour capter les erreurs cachées.
- Diviser la relecture en deux étapes : d’abord le fond, puis la forme.
- Utiliser des outils en ligne ou des extensions de navigateur pour une correction automatique.
- Se faire relire par une autre personne pour un regard neuf.
FAQ: Questionnements fréquents sur les fautes d’orthographe en 2025
- Comment éviter de faire des fautes d’accord dans ses écrits professionnels ?
- Il est conseillé de connaître les règles de base de l’accord du participe passé, de réviser régulièrement et d’utiliser des outils de correction en ligne pour valider ses textes avant envoi.
- Les réseaux sociaux nuisent-ils réellement à notre orthographe ?
- Oui. La rapidité d’écriture et la tendance à privilégier la communication instantanée encouragent souvent des fautes, mais une relecture attentive permet de limiter ces erreurs.
- Quelles ressources utiliser pour apprendre l’orthographe efficacement en 2025 ?
- Les applications interactives, les livres de référence comme le Bescherelle, les plateformes éducatives de l’Académie française, ainsi que les ateliers en ligne, sont autant d’outils efficaces pour progresser.
- Faut-il absolument tout connaître pour ne plus faire d’erreurs en orthographe ?
- Une maîtrise solide des règles de base, accompagnée d’une pratique régulière, suffit à réduire considérablement les fautes courantes. L’erreur est humaine, mais la vigilance est la clé de la maîtrise.